La pitié. Depuis de nombreuses années, j'ai ma propre attitude vis-à-vis de ce mot et de ce concept. Est-il possible, est-il nécessaire d'avoir pitié d'une personne ? S'agit-il d'un indicateur d'empathie, de sympathie ou d'un indicateur certain que vous considérez une personne comme faible et incapable de résoudre le problème, de surmonter la peur et la douleur. Il est peu probable qu'il existe une solution correcte sans équivoque et une opinion vraie.
#StartSelf, comme j'ai souvent l'habitude de le dire. Je vais commencer. Seuls mes proches connaissent peut-être l'histoire qui se cache derrière ce "désolé". Et dach n'est pas là pour la raconter en détail... Mais ! dans la lointaine année 2011, alors que je ne pouvais effectivement plus me mouvoir pleinement, vivant chaque jour un enfer de douleurs physiques et de souffrances... une personne qui m'était très chère à l'époque, s'approchant face à face m'a posé la question : "Veux-tu que j'aie pitié de toi" ? Ce à quoi j'ai répondu oui ! J'ai ensuite entendu : "Désolé, je ne peux pas". Le banal "Ilya, sois patient encore un peu, tout ira bien bientôt" aurait été le meilleur remède pour moi.
Un toxicomane qui croupit dans un hôpital, qui est en manque et qui gémit de douleur... non, ce n'est pas pathétique. Pas du tout ! L'homme qui ne peut plus bouger à cause de son poids, pas pitié de le voir pleurer. Elle qui est seule avec les enfants, qui n'a pas le temps de se faire faire les ongles, qui n'a même pas le temps de dormir correctement, pas de pitié, parce qu'il n'a jamais changé. Il a toujours été comme ça. Crampes, vertiges et tics nerveux - pas de pitié si le choix s'est porté sur le travail et l'argent. Trahison - pas de pitié... votre choix de ne pas voir, de ne pas entendre, de tolérer, de pardonner, de faire des compromis à l'infini.
En général, il y a peu de choses qui me font pitié. Dans la plupart des cas, c'est la personne elle-même qui est à blâmer, car elle a fait un choix en faveur de la cause qui a conduit à l'événement à l'origine de la douleur, de la souffrance ou d'autres difficultés qu'elle éprouve aujourd'hui. Il en va autrement lorsque la cause de cette souffrance est l'acte d'une autre personne, sa négligence criminelle, sa stupidité, son inattention ou le fait qu'elle "marche sur la tête".
Des ruelles en pente, des marécages et des puits,
Passer devant les vitrines des magasins en admirant les jonquilles,
Passez devant les ivrognes dont l'apparence diabolique est effrayante,
Après les clochards, les tic-tac, le prince de quelqu'un,Le moi du passé, qui a tué le futur,
Passé le rêve noyé dans le premier paragraphe,
Passée l'envie de jeter une pierre en bas d'une colline escarpée,
Ne pas suivre le conseil (vous le renvoyer à la figure),Passé les Détraqueurs, les entraîneurs, les ex-copines,
Au-delà des abuseurs, des marionnettes, des femmes nationales,
Tout ce que même Dieu ne contrôle pas, il l'a dépassé,
Past qui que ce soit qui ait inventé tout cela,Au-delà du bon marché et de la bienséance, au-delà de l'étroitesse d'esprit,
Ils passent, confiants dans chacune de leurs décisions,
Après les regards de loups et après les meilleurs -
Ils ne se donnent de l'importance qu'à eux-mêmes, n'est-ce pas ?Des parents disparus, assommés par la maladie,
Passage dans l'au-delà des personnes décédées prématurément,
Les interventions sont passées avec une logique à toute épreuve,
Passé les dépressions qui font exploser les caillots dans le corps,Passé ceux qui implorent de l'aide à genoux,
Passé les enfants envoyés à l'orphelinat,
Passé les mamies qui vendent des fleurs dans le métro,
Passées les heures perdues en vain dans les vingt-quatre heures,Au-delà de la calamité et des ruines qui l'accompagnent,
Passé les krachs, les crises et la sueur.
Je passerais pour un homme en acier,
Je passerais sans voir la moindre trace d'épaveAvec un sens aigu des âmes blessées de la vie,
Anastasia Apukhtina
Ne pas laisser mon cœur dériver comme ça.....
Mais une personne ne doit pas être indifférente,
L'indifférence ne permet pas de sortir de l'ornière.
Si, dans un cas, un mot gentil sauve une vie, dans un autre cas, il provoque de nouvelles erreurs. "La pitié est un signe de faiblesse" n'est pas toujours un axiome. Seul l'auteur de ces décisions devrait être tenu responsable de ses décisions !
Je commence à aimer vos messages. Ce doit être la vieillesse😄