La question du bonheur... Quelque chose de global et de philosophique... après quelques verres de rouge sec. Ce n'est en effet rien d'autre qu'une question d'instant. La permanence sort des contes de fées, à mon avis, quand il s'agit de “bonheur”. Il est impossible d'être heureux en permanence. Cela s'apparente à une sorte de maladie mentale, je pense.
Que faire si votre bonheur dépend directement de celui de quelqu'un d'autre ? Peut-être s'agit-il également d'un problème qui devrait être traité par des professionnels ?
Pourquoi est-il impossible de rendre tout le monde heureux ? Peut-être est-ce comme l'objectif ? Que l'objectif, et en particulier l“”objectif global“, n'est qu'une utopie ? Une fois l'objectif atteint... et après ? Fondamentalement, fixer un ”objectif global" n'est pas une tâche d'un jour ou même d'une semaine.
Le bonheur dépend probablement d'un facteur ou, à mon avis, d'une seule condition... La personne à côté de vous a besoin de vous ou la personne à côté de vous a besoin de vous.
Le bonheur d'être près de celui ou celle qui est... “à toi” sans évaluations, jugements, comparaisons, doutes et recherches. C'est un axiome qui lie deux personnes. Il les lie en une seule, quand tout le monde est pour l'autre... quand il n'y a pas de sujets interdits et que l'on veut être soi-même.
Vous souvenez-vous de votre moment de bonheur ? Je souhaite que se répète cet événement incroyable, cette émotion qui est dans votre ville... sur votre corps à cette seconde.
Le bonheur est au plus profond de nous-mêmes... rien ni personne n'affecte la réalité de son éveil.
.. Le moment où vous ne pouvez pas vous retenir de dire ”Je t'aime”.
Que ce tir ne soit pas autoguidé, mais clairement analysé et calibré sur 100%. Le bonheur n'a pas besoin d'être tenu sur une corde raide... Prenez-le tout de suite, sans laisser de place aux chagrins et à la négativité.