En ajoutant des nuances, des couleurs, des filtres, on cherche à changer la réalité... cette saturation commence à paraître lourde. La vraie beauté du # est l'absence de filtres, donc derrière eux se cache la vérité, qui, hélas, n'a pas toujours de brillantes perspectives.
Il n’y avait pas beaucoup de raisons de se réjouir de toute façon, et maintenant… c’est soit blanc, soit noir. Parfois, on commence à apprécier ce qui meurt en dernier : l’espoir.
Je me regarde de l'extérieur et je comprends que mon attitude envers la vie, les choses qui s'y passent et qui lui sont liées, me touchent d'une manière particulièrement étrange. Je suis en quelque sorte artificiel, sec... J'ai juste appris à accepter beaucoup de choses dans cette vie comme un fait... sec.